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Noël ! Le moment des rêves éveillés, fantasmes ! Des poésies, contes, etc. !

Ainsi : QUE DE LA CROISSANCE ! OUAIS ! Vive Jupiter !

Eh oui ! Si tout le monde s’y mettait, sans les fainéants et les Sans-dents et les RIENS, tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes ! Si nous le voulions suffisamment fort, la CROISSANCE NOUS ATTENDRAIT ! NOUS ACCUEILLERAIT ! NOUS SOURIRAIT !  Et plus si affinité !

Aidé par le Gourou transhumaniste Laurent Alexandre et son compère ou dit philosophe « utile »  Luc Ferry,  notre JUPITER ne se contente pas de mettre le doigt dans la confiture !

Poésie "J'ai trempé mon doigt ..."

 J'ai trempé mon doigt dans la confiture

J'ai trempé mon doigt dans la confiture

turelure

Ca sentait les abeilles

Ca sentait les groseilles

Ca sentait le soleil

J'ai trempé mon doigt dans la confiture

Puis je l'ai sucé

Comme on suce les joues de bonne grand-maman

Qui n'a plus mal aux dents

Et qui parle de fées...

Puis je l'ai sucé

Sucé

Mais tellement sucé

Que je l'ai avalé.

René de Obaldia

Of course ! SAUF QUE DANS LA RÉALITÉ, comme dans les prisons surchargées, plus que saturées, il faudrait utiliser des matelas par terre !

*** SI TOUT LE MONDE VIVAIT COMME LES FRANÇAIS(E)S, VU LEUR EMPREINTE ÉCOLOGIQUE GLOBALE, NE FAUDRAIT-IL PAS BÂTIR DE TOUTE URGENCE 2 AUTRES PLANÈTES ? !

Empreinte écologique

L'empreinte écologique est un indicateur et un mode d'évaluation environnementale qui comptabilise la pression exercée par les hommes envers les ressources naturelles et les « services écologiques » fournis par la nature. Plus précisément, elle mesure les surfaces alimentaires productives de terres et d'eau nécessaires pour produire les ressources qu'un individu, une population ou une activité consomme et pour absorber les déchets générés, compte tenu des techniques et de la gestion des ressources...

Chaque année, l'humanité consomme l'équivalent d'une planète et demie pour subvenir à ses besoins. Pour réduire cette empreinte, le WWF veut faire émerger des modes de production et de consommation plus écologiques.

VOIR INTERNET :

WWF, A partir du lundi 8 août 2016, l'humanité vivra à crédit

Arrêter la dégradation de l'environnement dans le monde et construire un avenir où les êtres humains pourront vivre en harmonie avec la nature.

https://www.wwf.fr/vous-informer/actualites/a-partir-du-lundi-8..

 

Si nous vivions tous comme les Américains, il faudrait 4 planetes ...

... les Népalais ou les Français sont ... si tout le monde vivait sur le tarin ... Dire « Si tout le monde vivait comme les Américains il faudrait 4 fois ...

h16free.com/2012/11/25/18781-si-nous-vivions-tous-comme-les...

Si tout le monde vivait comme un français, il faudrait 3 planetes ...

De très nombreux exemples de phrases traduites contenant "si tout le monde vivait comme un français, il faudrait" – Dictionnaire anglais-français et moteur de ...

www.linguee.fr/francais-anglais/traduction/si+tout+le+monde+vivait...

NOTRE JUPITER a dû lancer des appels d’offres puisqu’il fait ce qu’il dit !

EN TOUT CAS, lors de son dernier entretien télévisé, avec qui vous savez, IL N’AVAIT PAS ENCORE DÉCIDÉ QUELS/QUELLES  SERAIENT LES ARCHITECTES QUI SE CHARGERAIENT DE CETTE ÉNORME CONSTRUCTION ! (Sous-entendu, il ne viserait pas le projet yankee trop ambitieux ! Il se contenterait de 3 !)

****** LA RÉALISATION DE CE CHANTIER, encore plus gigantesque que celui des antiques pyramides égyptiennes, effectivement, nécessitera un investissement énorme et fournira un travail à des quantités d’homo sapiens, voire à tous/toutes  les fainéant(e)s et Sans-dents et Riens et aussi damnés de la Terre !

(SOURCES HUMANISTES : « L’homme a été créé à l’image de Dieu », « L’homme est un dieu en devenir », « Rien n’est impossible à  l’homme de bonne volonté » ! Et notre Jupiter est humaniste à 200 % !)

CITATIONS DE "LES DAMNÉS DE LA TERRE" (1961) de FRANTZ FANON

"Le langage du colon, quand il parle du colonisé, est un langage zoologique. On fait allusion aux mouvements de reptation du Jaune, aux émanations de la ville indigène, aux hordes, à la puanteur, aux pullulements, aux grouillements, aux gesticulations. Le colon, quand il veut bien décrire et trouver le mot juste, se réfère constamment au bestiaire."

 Les Damnés de la Terre (1961), Frantz Fanon, éd. La Découverte poche, 2002, p. 45

"Chaque fois qu’il est question de valeurs occidentales, il se produit, chez le colonisé, une sorte de raidissement, de tétanie musculaire. [...] Or il se trouve que lorsqu’un colonisé entend un discours sur la culture occidentale, il sort sa machette ou du moins il s’assure qu’elle est à portée de sa main. La violence avec laquelle s’est affirmée la suprématie des valeurs blanches, l’agressivité qui a imprégné la confrontation victorieuse de ces valeurs avec les modes de vie ou de pensées des colonisés font que, par un juste retour des choses, le colonisé ricane quand on évoque devant lui ces valeurs."

 Les Damnés de la Terre (1961), Frantz Fanon, éd. La Découverte poche, 2002, p. 46

"Pour le peuple colonisé, la valeur la plus essentielle, parce que la plus concrète, c’est d’abord la terre : la terre qui doit assurer le pain et, bien sûr, la dignité. Mais cette dignité n’a rien à voir avec la dignité de la personne humaine. Cette personne humaine idéale, il n’en a jamais entendu parler…"

 Les Damnés de la Terre, Frantz Fanon, éd. La Découverte poche, 2002, p. 47-48

"Le colon fait l’histoire. Sa vie est une épopée, une odyssée. Il est le commencement absolu : "Cette terre, c’est nous qui l’avons faites." Il est la cause continuée : "Si nous partons, tout est perdu, cette terre retournera au Moyen-âge." En face de lui, des êtres engourdis, travaillés de l’intérieur par les fièvres et les "coutumes ancestrales", constituent un cadre quasi minéral au dynamisme novateur du mercantilisme colonial."

 Les Damnés de la Terre (1961), Frantz Fanon, éd. La Découverte poche, 2002, p. 52-53

"Les nations européennes se vautrent dans l’opulence la plus ostentatoire. Cette opulence européenne est littéralement scandaleuse car elle a été bâtie sur le dos des esclaves, elle s’est nourrie du sang des esclaves, elle vient en droite ligne du sol et du sous-sol de ce monde sous-développé. Le bien-être et le progrès de l’Europe ont été bâtis avec la sueur et les cadavres des Nègres, des Arabes, des Indiens et des Jaunes. Cela nous décidons de ne plus l’oublier."

 Les Damnés de la Terre (1961), Frantz Fanon, éd. La Découverte poche, 2002, p. 94

"Si les conditions de travail ne sont pas modifiées il faudra des siècles pour humaniser ce monde rendu animal par les forces impérialistes."

 Les Damnés de la Terre (1961), Frantz Fanon, éd. La Découverte poche, 2002, p. 98

"Le colonialisme et l’impérialisme ne sont pas quitte avec nous quand ils ont retiré de nos territoires leurs drapeaux et leurs forces de police. Pendant des siècles les capitalistes se sont comportés dans le monde sous-développé comme de véritables criminels de guerre. Les déportations, les massacres, le travail forcé, l’esclavagisme ont été les principaux moyens utilisés par le capitalisme pour augmenter ses réserves d’or et de diamants, ses richesses et pour établir sa puissance. Il y a peu de temps, le nazisme a transformé la totalité de l’Europe en véritable colonie. Les gouvernements des différentes nations européennes ont exigé des réparations et demandé la restitution en argent et en nature des richesses qui leur avaient été volées [...]. Pareillement nous disons que les Etats impérialistes commettraient une grave erreur et une justice inqualifiable s’ils se contentaient de retirer de notre sol les cohortes militaires, les services administratifs et d’intendance dont c’était la fonction de découvrir des richesses, de les extraire et de les expédier vers les métropoles. La réparation morale de l’indépendance nationale ne nous aveugle pas, ne nous nourrit pas. La richesse des pays impérialistes est aussi notre richesse.[...] L’Europe est littéralement la création du tiers monde."

 Les Damnés de la Terre (1961), Frantz Fanon, éd. La Découverte poche, 2002, p. 99

"Politiser les masses, ce n’est pas, ce ne peut pas être faire un discours politique. C’est s’acharner avec rage à faire comprendre aux masses que tout dépend d’elles, que si nous stagnons c"est de leur faute et que si nous avançons c’est aussi de leur faute, qu’il n’y a pas de démiurge, qu’il n’y a pas d’homme illustre responsable de tout, mais que le démiurge c’est le peuple et que les mains magiciennes ne sont en définitive que celles du peuple."

 Les Damnés de la Terre (1961), Frantz Fanon, éd. La Découverte poche, 2002, p. 187

"Au bout d’un ou deux siècles d’exploitation se produit une véritable émaciation du panaroma culturel national. La culture nationale devient un stock d’habitudes motrices, de traditions vestimentaires, d’institutions morcelées. On y décèle peu de mobilité. Il n’y a pas de créativité vraie, pas d’effervescence. Misère du peuple, opression nationale et inhibition de la culture sont une seule et même chose. Après un siècle de domination coloniale, on trouve une culture rigidifiée à l’extrême, sédimentée, minéralisée."

 Les Damnés de la Terre (1961), Frantz Fanon, éd. La Découverte poche, 2002, p. 227

"Quittons cette Europe qui n’en finit pas de parler de l’homme tout en le massacrant partout ou elle le rencontre, à tous les coins de ses propres rues, à tous les coins du monde."

 Les Damnés de la Terre (1961), Frantz Fanon, éd. La Découverte poche, 2002, p. 301

"Cette Europe qui jamais ne cessa de parler de l’homme, jamais de proclamer qu’elle n’était inquiète que de l’homme, nous savons aujourd’hui de quelles souffrances l’humanité a payé chacune des victoires de son esprit."

 Les Damnés de la Terre (1961), Frantz Fanon, éd. La Découverte poche, 2002, p. 302

"Dans décolonisation, il y a donc exigence d’une remise en cause intégrale de la question coloniale. Sa définition peut, si on veut la décrire avec précision, tenir dans la phrase bien connue : "les derniers seront les premiers." La décolonisation est la vérification de cette phrase. C’est pourquoi, sur le plan de la description, toute décolonisation est une réussite."

 Les Damnés de la Terre (1961), Frantz Fanon, éd. La Découverte poche, 2002, p. 40

"La première chose que l’indigène apprend, c’est à rester à sa place, à ne pas dépasser les limites ; c’est pourquoi les rêves de l’indigène sont des rêves musculaires, des rêves d’action, des rêves agressifs. Je rêve que je saute, que je nage, que je cours, que je grimpe. Je rêve que j’éclate de rire, que je franchis le fleuve d’une enjambée, que je suis poursuivi par une meute de voitures qui ne me rattrapent jamais. Pendant la colonisation, le colonisé n’arrête pas de se libérer entre neuf heures du soir et six heures du matin. Cette agressivité sédimentée dans ses muscles, le colonisé va d’abord la manifester contre les siens. C’est la période où les nègres se bouffent entre eux et où les policiers, les juges d’instruction ne savent plus où donner de la tête devant l’étonnante criminalité nord-africaine."

 Les Damnés de la Terre (1961), Frantz Fanon, éd. La Découverte poche, 2002, p. 53-54

"Le colonialisme n’est pas une machine à penser, n’est pas un corps doué de raison. Il est la violence à l’état de nature et ne peut s’incliner que devant une plus grande violence."

 Les Damnés de la Terre (1961), Frantz Fanon, éd. La Découverte poche, 2002, p. 61

EN ATTENDANT, VIVE LA CROISSANCE !

Mettez le doigt dans la confiture et sucez sucez « toujours plus » jusqu’ à ce doigt et le reste y passent, jusqu’à l’overdose  finale !

 

 Conte de ma amère l’Oye de Charles Perrault 1628-1703. Le Petit chaperon rouge !

Il était une fois une petite fille de village, la plus jolie qu'on eût su voir : sa mère en était folle, et sa grand-mère plus folle encore. Cette bonne femme lui fit faire un petit chaperon rouge qui lui seyait si bien, que partout on l'appelait le petit Chaperon rouge.
Un jour, sa mère ayant fait des galettes, lui dit : "Va voir comment se porte ta mère-grand : car on m'a dit qu'elle était malade; porte-lui une galette et ce petit pot de beurre." Le petit Chaperon rouge partit aussitôt pour aller chez sa mère-grand, qui demeurait dans un autre village.
En passant dans un bois, elle rencontra compère le Loup qui eut bientôt envie de la manger ; mais il n'osa, à cause de quelques bûcherons qui étaient dans la forêt. Il lui demanda où elle allait. La pauvre enfant, qui ne savait pas qu'il était dangereux de s'arrêter à écouter le loup, lui dit : "Je vais voir ma mère-grand, et lui porter une galette, avec un pot de beurre que ma mère lui envoie."
"Demeure-t-elle bien loin?" lui dit le loup.
"Oh ! Oui", lui dit le petit Chaperon rouge ; "c'est par-delà le petit moulin que vous voyez tout là-bas, là-bas à la première maison du village."
"Eh bien !" dit le Loup, "je veux l'aller voir aussi : je m'y en vais par ce chemin-ci, et toi par ce chemin-là, et nous verrons à qui plus tôt y sera."
Le Loup se mit à courir de toute sa force par le chemin qui était le plus court ; et la petite fille s'en alla par le chemin le plus long, s'amusant à cueillir des noisettes, à courir après des papillons et à faire des bouquets de petites fleurs qu'elle rencontrait.
Le Loup ne fut pas longtemps à arriver à la maison de la mère-grand ; il heurte : toc, toc.
"Qui est là ?"
"C'est votre fille, le petit Chaperon rouge", dit le Loup en contrefaisant sa voix, "qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre que ma mère vous envoie."
La bonne mère-grand, qui était dans son lit, à cause qu'elle se trouvait un peu mal, lui cria : "Tire la chevillette, la bobinette cherra."
Le Loup tira la chevillette, et la porte s'ouvrit. Il se jeta sur la bonne femme et la dévora en moins de rien, car il y avait plus de trois jours qu'il n'avait mangé. Ensuite il ferma la porte et s'alla coucher dans le lit de la mère-grand, en attendant le petit Chaperon rouge, qui, quelque temps après, vient heurter à la porte : toc, toc.
"Qui est là ?"
Le petit Chaperon rouge, qui entendit la grosse voix du Loup, eut peur d'abord, mais croyant que sa mère-grand était enrhumée, répondit : "C'est votre fille, le petit Chaperon rouge, qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre que ma mère vous envoie."
Le Loup lui cria, en adoucissant un peu sa voix : "Tire la chevillette, la bobinette cherra."
Le petit Chaperon rouge tira la chevillette, et la porte s'ouvrit. Le Loup, la voyant entrer, lui dit, en se cachant dans le lit sous la couverture : "Mets la galette et le petit pot de beurre sur la huche, et viens te coucher avec moi."
Le petit Chaperon rouge se déshabille et va se mettre dans le lit, où elle fut bien étonnée de voir comment se mère-grand était faite en son déshabillé. Elle lui dit : "Ma mère-grand, que vous avez de grands bras !"
"C'est pour mieux t'embrasser, ma fille."
"Ma mère-grand, que vous avez de grandes jambes !"
"C'est pour mieux courir, mon enfant !"
"Ma mère-grand, que vous avez de grandes oreilles !"
"C'est pour mieux Ecouter, mon enfant."
"Ma mère-grand, que vous avez de grands yeux !"
"C'est pour mieux voir, mon enfant."
"Ma mère-grand, que vous avez de grandes dents !"
"C'est pour mieux te manger." Et en disant ces mots, le méchant Loup se jeta sur le petit Chaperon rouge et la mangea.

 

Moralité

On voit ici que de jeunes enfants,
Surtout de jeunes filles
Belles, bien faites, et gentilles,
Font très mal d'écouter toutes sortes de gens,
Et que ce n'est pas chose étrange,
S'il en est tant que le loup mange.
Je dis le loup, car tous les loups
Ne sont pas de la même sorte;
Il en est d'une humeur accorte,
Sans bruit, sans fiel et sans courroux,
Qui privés, complaisants et doux,
Suivent les jeunes demoiselles
Jusque dans les maisons, jusque dans les ruelles ;
Mais, hélas ! qui ne sait que ces loups doucereux,
De tous les loups sont les plus dangereux. 

 

Bonne fin d’ère religieuse ! Désolé ou l’inverse ! En élaborant ce texte, n’étant pas  fractal : je viens d’évoluer : Vive non pas Jupiter mais Darwin !

Pierre Payen (Dunkerque)

Si vous vouliez savoir plus en détail ma vision toute personnelle de ce que je nomme "Jeu de la vie ou Hyper-jeu de la vie", il suffirait de cliquer sur Internet à : 

[[[La vie ne serait-elle pas une sorte d’hyper jeu ? | Des ...

J’ai envie d’ajouter une hypothèse supplémentaire. Chacun(e), en fonction du potentiel génétique de départ, aurait un parcours terrestre à effectuer.

descommentaires.blog.lemonde.fr/2010/01/12/le-jeu-de-la-vie-…-la...]]]

 

 Voire la confusion entre les mots, voire aussi avec les choses

Des bulles du site "Altermonde-sans-frontières"

 

 

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